Your body has thousands of genes, which carry the instructions cells need to grow and function. A genetic mutation occurs when a gene is altered and stops working as it should.
Certain genetic mutations pose an increased risk for ovarian cancer and other diseases. While having a mutation associated with ovarian cancer does not necessarily mean that you will develop this disease, it can increase your risk to as much as 50 per cent. But knowledge is your superpower. Knowing about a genetic mutation can help save your life and those you love.
If you are living with ovarian cancer, related to someone who has been diagnosed, or of Ashkenazi Jewish or French-Canadian descent - learning about your genes is vital. Knowledge of a genetic mutation can inform action to prevent ovarian cancer, stopping the disease before it starts. In other cases, it can help target treatment for improved outcomes.
Cancer de l’ovaire Canada est là pour vous.
Environ un cas de cancer de l’ovaire sur cinq peut être associé à des mutations génétiques héritées de la mère ou du père. Il existe aussi des cas où la mutation génétique est présente dans la tumeur, même si on ne détecte aucune mutation génétique dans votre sang. La connaissance de vos caractéristiques génétiques peut aider votre équipe d’oncologie à cibler votre traitement, ce qui peut améliorer le pronostic. Puisque les mutations héréditaires peuvent influencer le risque d’autres types de cancer et d’autres maladies, une meilleure connaissance de vos caractéristiques génétiques peut aussi vous aider à déterminer si des mesures préventives sont souhaitables pour vous.
Si vous êtes porteuse d’une mutation génétique héréditaire, vous avez aussi la possibilité de sauver des vies. En partageant ce que vous avez appris sur vos propres gènes avec vos parents et votre parenté au premier degré – y compris vos parents, vos frères et sœurs et vos enfants – vous pouvez les encourager à passer des tests génétiques pour voir s’ils sont également porteurs d’une mutation transmise de génération en génération. Si c’est le cas, ils pourront prendre des décisions éclairées pour éventuellement empêcher le cancer de l’ovaire et d’autres maladies de se développer dès le départ.
Si vous ne l’avez pas encore fait, discutez avec votre oncologue des tests génétiques pour favoriser votre santé. Ça pourrait contribuer à protéger le bien-être de vos proches.
En passant des tests génétiques, vous avez pris une mesure importante pour mieux connaître votre risque de cancer de l’ovaire. Et savoir, c’est pouvoir.
Certaines mutations, plus particulièrement celles des gènes BRCA1 et BRCA2, sont souvent associées au cancer de l’ovaire et à d’autres maladies. Même si le fait d’être porteuse de ces mutations génétiques ne signifie pas nécessairement que vous allez développer un cancer de l’ovaire, ça augmente le risque jusqu’à 50% , ce qui est beaucoup plus élevé que le risque moyen de 1,3% .
La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez faire quelque chose.
Si vous êtes porteuse d’une mutation génétique associée au cancer de l’ovaire, vous pouvez empêcher la maladie de se développer dès le départ. Les médecins recommandent une intervention chirurgicale pour enlever les trompes de Fallope et les ovaires. C’est ce qu’on appelle une salpingo-ovariectomie bilatérale.
Parlez à votre médecin des avantages et des risques de cette approche. Il pourra vous aider à déterminer si c’est une bonne solution pour vous, en fonction de votre situation particulière. Les recommandations varient selon différents facteurs, comme votre âge et le type de mutation génétique dont vous êtes porteuse.
Nos gènes sont transmis de génération en génération. Si vous avez hérité d’une mutation génétique, parlez à vos parents et parenté au premier degré de ce que vous avez appris. Cette conversation pourrait très bien leur sauver la vie en les incitant à en apprendre davantage sur leurs gènes et à prendre des décisions éclairées en matière de prévention ou de réduction des risques.
Si votre mère, votre sœur ou votre fille a reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire, il est possible qu’elle soit porteuse d’une mutation génétique transmise de génération en génération. Si une parenté au premier degré est porteuse d’une mutation héréditaire, ça ne veut pas nécessairement dire que vous êtes porteuse de la même mutation génétique. Ni que vous allez développer un cancer de l’ovaire. Mais ça veut dire que vous courez peut-être un risque accru de développer cette maladie.
Il y a une seule façon de le savoir. Le fait d’en savoir plus sur vos caractéristiques génétiques pourra vous aider à prendre des décisions éclairées en matière de prévention ou de réduction des risques. Discutez avec votre médecin des tests génétiques, et de la meilleure façon d’y avoir accès.
Si votre parenté n’a pas passé de tests génétiques, il pourrait être très avantageux pour elle de le faire. Tout d’abord, les progrès des traitements permettent de cibler certaines mutations génétiques pour améliorer le pronostic. De plus, le fait de connaître ses caractéristiques génétiques pourra aider des proches au premier degré, comme vous, à prendre des mesures pour en savoir plus sur leurs propres risques de développer cette maladie.
Les mutations génétiques associées au cancer de l’ovaire sont plus courantes au sein de certains groupes. Si vous êtes d’origine canadienne-française ou juive ashkénaze, la probabilité est plus élevée que vous soyez porteuse d’une mutation génétique qui augmente le risque de développer cette maladie. La seule façon de le savoir vraiment, c’est de passer des tests génétiques.
Des mutations des gènes BRCA1 et BRCA2 sont souvent associées au cancer de l’ovaire. Même si vous découvrez que vous êtes porteuse d’une de ces mutations, ça ne signifie pas nécessairement que vous allez développer cette maladie, mais ça augmente le risque jusqu’à 50%. Et ça signifie surtout que vous pouvez prendre des mesures pour prévenir le cancer de l’ovaire ou réduire le risque.
Si vous désirez en savoir davantage sur vos gènes, discutez avec votre médecin des tests génétiques, et de la meilleure façon d’y avoir accès.
Toutes les personnes qui sont nées avec des ovaires courent un certain risque de développer un cancer de l’ovaire. Cette maladie touche une femme canadienne sur 75, et certaines courent un risque plus important que d’autres en fonction de leur âge, de leur origine ethnique, de leurs antécédents familiaux de certains cancers, de leurs antécédents reproductifs et de la présence de mutations génétiques particulières. Apprenez-en davantage sur les facteurs de risque.
Discutez de vos préoccupations avec votre médecin pour obtenir des conseils d’expert. Il existe différentes façons de réduire les risques de cette maladie et il peut être utile d’évaluer vos options.
Si vous devez subir une intervention chirurgicale gynécologique comme une hystérectomie (l’ablation de l’utérus) ou une ligature des trompes, vous pourriez discuter avec votre médecin de la possibilité de prévenir le cancer de l’ovaire en subissant une salpingectomie opportuniste (ablation des trompes de Fallope) en même temps, puisque la majorité des cas de cancer de l’ovaire débute dans les trompes de Fallope.
Il est très important de parler à votre médecin si vous éprouvez des symptômes nouveaux qui persistent pendant trois semaines ou plus. Voici certains signes du cancer de l’ovaire : ballonnement, douleur ou inconfort abdominal, fatigue, symptômes urinaires, changements du transit intestinal, difficulté à manger, perte ou gain de poids inexpliqué et irrégularités menstruelles. Le fait de remarquer ces symptômes ne signifie pas que vous avez le cancer de l’ovaire. Mais tout symptôme anormal pour vous devrait être signalé et évalué.
Discutez donc avec votre médecin de la possibilité de passer un examen pelvien complet, une échographie transvaginale et un dosage sanguin du CA-125. Comme il n’existe aucun test de dépistage du cancer de l’ovaire, ces trois examens réalisés ensemble constituent la façon la plus efficace de dépister la maladie.