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Apprenez-en davantage sur les nouvelles initiatives mises en œuvre pour vaincre le cancer de l’ovaire et rencontrez les gens qui sont déterminés à faire une différence.
Les histoires rassemblées ici sont tirées de Semons l’espoir, notre bulletin électronique mensuel.
L’ambiance était vraiment à la fête le 4 avril dernier lors de la soirée POUR ELLE à Vancouver, une soirée mode pour appuyer Cancer de l’ovaire Canada. Les invités, leur verre à la main et les yeux rivés sur la scène, attendaient impatiemment l’annonce des gagnants du prestigieux Prix Virginia Greene, qui étaient pour la première fois cette année des membres d'une même famille. Les cousines Lisa Konishi et Christine Coletta se sont alors avancées pour accepter ce grand honneur sous les feux des projecteurs.
Les bénévoles de Cancer de l’ovaire Canada possèdent des forces uniques qu’ils mettent au service de toutes leurs actions. Ils le font pour leurs mères, leurs conjointes, leurs sœurs, leurs filles et leurs amies, ainsi que pour d’autres femmes qu’ils n’ont jamais rencontrées.
Cécile Hryhorczuk a reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire en décembre 2015 et a vécu une récidive deux ans plus tard. Cet été, elle entreprendra une expédition pancanadienne pour prouver que la vie continue après le cancer.
Le mois dernier, les membres de la communauté ont participé à la première discussion virtuelle de Cancer de l’ovaire Canada de tous les temps et ont découvert le nouveau plan stratégique visant à susciter des changements qui sauveront des vies.
« Cette période de l’année me redonne espoir en l’avenir. C’est un moment pour passer du bon temps avec mes amis, les membres de ma famille et, bien sûr, ma mère », déclare Cailey Heaps.
Santé Canada a émis l’hypothèse que l’utilisation de poudre de talc sur les parties génitales féminines est une cause possible de cancer de l’ovaire. Des actions collectives sont en cours au Canada et aux États-Unis, et des rumeurs sur l’existence d’un lien circulent déjà depuis un certain temps. Cette annonce récente a suscité de nouvelles inquiétudes.
Même si l’expérience du cancer de l’ovaire de chacune est unique, il n’existe pas de meilleur soutien que celui d’une personne qui est déjà passée par là. Et c’est exactement ce que les femmes aux prises avec le cancer de l’ovaire trouvent sur OVdialogue, un groupe de discussion en ligne modéré conçu spécialement pour les femmes atteintes de cette maladie.
Lors de la plus récente édition de la Randonnée de l’espoir de Cancer de l’ovaire Canada, des milliers de femmes et de familles se sont rassemblées pour former un cercle de soutien d’un océan à l’autre. Si la météo n’a pas toujours été de la partie, la bonté et la bonne humeur étaient certainement au rendez-vous.
Au pays et sur la scène internationale, Anne Chase est une force de la nature. Depuis qu’elle a reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire en 1998, aider les autres est devenu sa priorité absolue.
Chaque année, 2 800 femmes canadiennes reçoivent un diagnostic de cancer de l’ovaire et un peu plus du quart d’entre elles habitent au Québec. Cela s’explique en partie par la population importante de la province et par le fait que les mutations des gènes BRCA sont plus courantes dans la communauté canadienne-française, ce qui augmente le risque de développer un cancer de l’ovaire.