Histoires de revendication
Que fait Cancer de l’ovaire Canada en votre nom pour mettre de nouvelles options de traitement à votre disposition?
S’assurer de faire entendre votre voix et de partager vos expériences avec les personnes qui décident d’approuver de nouveaux médicaments est d’une importance cruciale pour notre organisation.
À la fin 2018, deux des rares gynécologues oncologues de Saskatchewan ont annoncé qu’ils quitteraient la province, réduisant ainsi l’accessibilité aux soins de santé pour les femmes atteintes du cancer de l’ovaire ou à risque.
Les femmes atteintes du cancer de l’ovaire méritent les meilleurs soins possible, peu importe l’endroit où elles habitent. C’est pourquoi Cancer de l’ovaire Canada et les membres de la communauté se sont attaqués au grave problème de pénurie de gynécologues oncologues en Saskatchewan.
Depuis des années, les femmes et les familles touchées par le cancer de l’ovaire militent pour un financement gouvernemental accru de la recherche sur cette maladie. Les connaissances sur le cancer de l’ovaire s’améliorent sans cesse, mais il reste encore beaucoup de choses à apprendre. Un changement est toutefois à notre portée et vous pouvez nous aider. Il suffit de cinq minutes.
Une nouvelle étude internationale révèle que les femmes canadiennes atteintes du cancer de l’ovaire donnent une note de 4,6 sur 10 au gouvernement pour ses efforts pour lutter contre cette maladie. Selon les statistiques, la recherche sur le cancer de l’ovaire est sous-financée depuis de nombreuses années. Comme ce manque de financement freine les progrès scientifiques, les taux de survie ne se sont pas améliorés en cinq décennies.
En septembre, vous pouvez susciter des changements significatifs qui contribueront à sauver des vies. Profitez de ce mois – de tous les jours du mois – pour engager la conversation au sujet du cancer de l’ovaire et dites à vos amis, aux membres de votre famille, et même à de parfaits étrangers ce qu’ils peuvent faire pour aider les femmes atteintes de cette maladie.
Précédées par des milliers de lettres de Canadiens préoccupés, trois équipes de délégués se sont rendues au Parlement plus tôt au cours du mois. Chacune était composée d’un chercheur, d’une femme atteinte du cancer de l’ovaire et d’un membre de l’équipe de Cancer de l’ovaire Canada.
Chaque jour, près de 230 000 femmes dans le monde entier reçoivent un diagnostic de cancer de l’ovaire. Selon les statistiques publiées récemment par la World Ovarian Cancer Coalition, ce chiffre devrait augmenter de 55 pour cent d’ici 2035. L’augmentation prévue est largement attribuable au vieillissement de la population, puisque les femmes de 50 ans et plus courent un risque plus élevé de développer un cancer de l’ovaire.
Les porte-paroles qui réclamaient un investissement accru du gouvernement dans la recherche sur le cancer de l’ovaire cherchent toujours à comprendre ce qui s’est produit lors de la présentation du Budget 2018. Même si le Comité permanent des finances avait recommandé d’accorder un financement à la recherche sur le cancer de l’ovaire, aucun montant n’a été réservé spécifiquement pour appuyer le progrès scientifique dans ce domaine.
L’année dernière, les membres de notre communauté ont continué à intensifier les efforts de défense des droits des patientes pour attirer l’attention sur la nécessité de financer la recherche sur le cancer de l’ovaire. De nombreuses personnes ont rencontré leurs représentants élus et ont écrit des lettres pour solliciter leur appui. Mais le gouvernement fédéral n’a toujours pas répondu à notre demande d’un investissement supplémentaire de 10 millions de dollars.