Deux nouveaux membres du Québec se joignent au conseil d’administration
15 juillet 2018
Chaque année, 2 800 femmes canadiennes reçoivent un diagnostic de cancer de l’ovaire et un peu plus du quart d’entre elles habitent au Québec. Cela s’explique en partie par la population importante de la province et quelques données probantes suggèrent que les mutations des gènes BRCA sont plus courantes dans la communauté canadienne-française, ce qui augmente le risque de développer un cancer de l’ovaire.
Pour mieux appuyer les besoins uniques de ces femmes, le conseil d’administration de Cancer de l’ovaire Canada a récemment accueilli deux nouveaux membres provenant du Québec.
Le cancer de l’ovaire est bien connu dans la famille de Michel Brunet, vice-président adjoint aux opérations à la Sun Life. Sa mère et sa tante ont été touchées par la maladie.
« Le cancer de l’ovaire a des répercussions importantes dans la vie des gens. Même la prévention de la maladie peut avoir des conséquences négatives, en causant une ménopause prématurée par exemple, et c’est sans parler des coûts émotionnels, déclare Michel. Je veux un avenir meilleur pour mes enfants – c’est pourquoi je désire m’impliquer. »
En prévision de sa première réunion du conseil d’administration, Michel a étudié le plan stratégique de Cancer de l’ovaire Canada, qui vise à susciter des changements qui sauvent des vies.
« Je suis vraiment interpellé par les trois domaines d’intervention prioritaires de l’organisation, ajoute Michel. C’est en appuyant les femmes atteintes de la maladie, en sensibilisant la population et en finançant la recherche pour améliorer le pronostic que Cancer de l’ovaire Canada pourra changer l’avenir. C’est important pour moi, parce que je pense à mes filles, ainsi qu’à mes nièces. »
Catherine Asselin, une chef de file du secteur du marketing qui est déterminée à faire une différence, se joint également au conseil d’administration. Lorsqu’elle a œuvré comme bénévole l’année dernière dans le cadre de la Randonnée de l’espoir de Cancer de l’ovaire Canada, elle a vu les femmes, les familles et les amis faire front commun pour s’appuyer mutuellement et leur esprit de camaraderie l’a incitée à en faire plus.
« En évaluant la possibilité de m’impliquer au sein du conseil, j’ai été stimulée par la façon dont l’organisation approche la recherche et l’action politique, aussi bien au niveau fédéral que provincial. Il est évident que ses efforts portent leurs fruits. Par exemple, les membres de l’Assemblée nationale ont commencé à parler du cancer de l’ovaire. C’est un pas dans la bonne direction », déclare Catherine.
Elle a déjà hâte de participer à la Randonnée de l’espoir de Cancer de l’ovaire Canada, chez elle, à Montréal.
« L’année dernière, j’ai été impressionnée de voir tant de personnes s’impliquer et appuyer leurs proches. Cette année, j’ai hâte de rencontrer les femmes qui participent à la Randonnée et discuter avec elles de ce qui suscite leur espoir et de la façon dont Cancer de l’ovaire Canada peut faciliter leur parcours. »
Êtes-vous prêts à participer à la Randonnée de l’espoir de Cancer de l’ovaire Canada, cette activité spéciale où la communauté se réunit pour susciter un changement très nécessaire, aux côtés de Catherine et Michel? Inscrivez-vous et recueillez des fonds sur randonneecancerdelovaire.ca.